Avantages
- Simplicité d'utilisation pour de nombreuses applications : insertion de photos, mise en forme, ouverture de plusieurs blogs avec un même code d'accès, édition de texte etc.
- Grande capacité de personnalisation de l'apparence de son blog.
Inconvénients
- Nécessité de tout paramétrer soi-même.
En introductionimage 5954770612x612.jpg (66.6kB)
How do you attain that good love and attract the relationship you’ve been wishing for? Follow these steps to start the process of creating a vision board for your love life.
Let’s get real. You’re not going to rub your hands together and summon a man or any kind of love in your life. This isn’t Aladdin and love just doesn’t work that way. You may kneel and pray to whatever God you worship; you may bitch and moan to your gal pals; you may even date all of the time because you MUST be proactive. (I told you so, dammit!) And you can create a vision board for your love life. But there’s more to the Law of Attraction, the Law of Love and the Law of The Vision Board, and it has nothing to do with closing your eyes, wishing and praying yourself a relationship, and pasting magazine cut outs on a poster board.
Trust me, I know. I was that girl. I thought that I could manifest a man and healthy love just like that without doing any real work.
So, how do you attain that good love? How do you attract the relationship you’ve been wishing for? Follow these steps to start the process of creating a vision board for your love life.
Be certain of your desires.
If you love a man who is funny or want a man who is hardworking and consistent, you can receive that – if you are truly certain that’s what you want. You can’t waver. You can’t confuse the Big Man Upstairs. You can’t say you want a man without kids and then only date men with kids. You can’t complain you always date immature men and date younger men. Ain’t nothing wrong with being a cougar, now, but you get what you get.
If you find yourself in the same relationship/different man, you are putting out signals that are bringing you that very relationship you say you loathe. Remember, we as women are the rejectors. At least when men are trying to get in our pants and in our hearts (hopefully, simultaneously). So you have to do a standup job of summoning the man you really want and can really handle.
Love, chica!
One of the ways to attract love is to simply love. Be kind. Be open to love. Don’t obsess over fulano de tal and that ex who did you dirty 5 years ago. We all have baggage. We all have flaws and shit we carry. Despite all of this, you have to choose to love before you create a vision board for your love life.
There’s much more to this, of course. If you’re not sure how to unpack your patterns and suitcase of baggage, I can help. I am offering an affordable coaching package for women who want to manifest new love or reignite love in their current relationships and themselves. I’ll help you get that good love without them therapy bills.
Dating Advice and Course for WomenIf you want to skip along to the vision board portion of this post, here’s how you manifest that good love. I just can’t promise it will last or that he won’t be full of the shit you don’t ever want.
Decide what kind of vision board it will be.
Will it be with words? Photographs? Drawings? Song lyrics? Will you create a virtual board or one to hang in your bedroom? Choose what works best for you and your personality.
Write down your wants – clearly.
Write (or type) a letter to your future partner. In this letter, thank him for the qualities you treasure. The more specific you are the better. Once finished, read the letter to yourself and keep it in a sacred place. Don’t share it with anyone. This letter is just for you. Like your birthday wish after you blow out the candles.
Get to cutting and snipping.
Now that you know what you want in a partner and relationship and you have selected the tools you will use, it is time to create a vision board for your love life. Add the words and/or images selected on poster board or cardboard. You can also use a picture frame. The tools don’t really matter, you just have to believe in your vision.
Go mobile.
If you don’t know where to place your board or are afraid of that bad juju (your friends may think you’re loca), go mobile. Create the vision board for your love life, take a photo of it and use it as a screen saver. If you create the board virtually or through phone apps like Canva, you can store it right onto your phone.
Présentation
Le débat mouvant (encore appelé Jeu de positionnement) est une forme de débat dynamique qui favorise la participation.
- Un animateur raconte une histoire volontairement polémique. Il propose à certains moments clés de l'histoire aux participants de se positionner physiquement dans la salle, "ceux qui ne sont pas d'accord avec ce qui vient d'être dit d'un côté, ceux qui sont d'accord de l'autre".
- Personne n'a le droit de rester au milieu (sans avis), le fait de se déplacer réellement pousse à choisir un camp et des arguments.
- Une fois que tout le monde a choisi "son camp", l'animateur demande qui veut prendre la parole pour expliquer son positionnement.
- Pour initier le débat, il peut commencer par demander qui est fortement positionné par rapport à ce qu'il vient de dire.
- Quand un camp a donné un argument, c'est au tour de l'autre camp d'exprimer un argument. C'est un ping-pong. Mais si un argument du camp opposé est jugé valable par un participant, il peut changer de camp.
- Quand l'animateur le choisit, il clôt le débat et poursuit son histoire jusqu'à la prochaine affirmation ou situation polémique de l'histoire et le débat reprend.
Pré-requis
- Un minimum de participants (une dizaine)
- Une histoire polémique dans laquelle les participants peuvent se projeter
- Une salle avec de l'espace
- Des affiches pour marquer les différentes zones (d'accord, pas d'accord)
- Exposer les règles du jeu (personne n'est obligé de prendre la parole, mais tout le monde doit choisir un camp)
- Durée de l'activité : 1h30 semble une bonne durée.
Quelques applications
- 1.Briser la glace très rapidement au sein d'un groupe, le fait d'avoir à se positionner devient vite un jeu et contribue à la participation.
- 2.Favoriser la participation d'un maximum de personnes, si l'animateur favorise la prise de parole de ceux qui n'ont pas encore parlé.
- 3.Clarifier la position de chacun, donner à voir la diversité d'opinion des uns et des autres.
Prise en main Un exemple de débat mouvant organisé par la SCOP Le Pavé
Pour aller plus loin
- Possibilité de collecter les arguments au fur et à mesure du débat et d'en faire une carte mentale.
- Possibilité de donner 5 min ou plus à chaque camp pour peaufiner collectivement ses arguments
Avantages
- Activité qui ne nécessite pas de matériel
- Très rapide à mettre en place
- Possible de la vivre en extérieur, ce qui aère les participants.
- Dans cette forme le débat redevient un moment de plaisir
Inconvénients
- Il n'y a pas de garantie que le débat "prenne"
- Certains participants peu à l'aise en groupe ou avec la logique argumentaire peuvent se sentir exclus, cette méthode débat doit être complétée avec d'autres formes de débat en fonction du temps, des participants et des objectifs.
En introduction
Petit outil très simple pour créer un sondage ou prendre une décision en groupe. Doodle est un outil qui permet créer un sondage en 3 clics. Soit un sondage pour trouver une date : celui qui crée le sondage définit des créneaux horaires et les participants indiquent leurs disponibilités, soit un sondage avec des choix multiples.
Pour aller plus loin
- Ne proposer que des dates où les personnes dont la présence est indispensable sont disponibles
- Éviter de proposer trop de dates, cela dilue les réponses. Conséquence possible : la date qui a eu le plus de suffrages ne correspond qu'à une minorité du groupe
- Fixer une date de fin du sondage
- Attention quand on a plusieurs Doodle en cours : en tenir compte dans ses réponses
Avantages
- Il répond parfaitement aux besoins des groupes à trouver une date commune.
- Le fait que les participants voient les réponses des autres incitent à trouver un consensus.
- C'est un outil très très simple d'utilisation, son introduction dans des groupes débutants peut constituer une première étape, une "petite expérience irréversible".
- Il évite de bourrer sa boite mail inutilement chaque fois que l'on tente de fixer une date en groupe
Inconvénients
- C'est un service en ligne, gratuit certes, mais pas un logiciel libre.
- L'outil ne résout pas les problèmes de manque de disponibilités.
- Ce sont les premiers qui répondent qui sont le plus avantagés.
- Ne convient pas pour les réunions confidentielles ou les choix secrets car le sondage ou les participants sont visibles par tous
- Problème de propriété des données entrées.
Auteur de la fiche
Outils-réseaux et SupAgro Florac
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
- Dropbox est un service de sauvegarde, de synchronisation et de partage de données, ultra simple. On télécharge un programme qui n'occupera qu'une discrète place dans la barre des taches. On lui précise un dossier sur notre ordinateur qui sera sauvegardé et synchronisé sur Internet. On s'identifie et c'est opérationnel : maintenant tout type de fichier copié ou sauvegardé dans votre répertoire de Dropbox sera envoyé instantanément sur Internet, de manière sécurisée.
- Cela permet de synchroniser automatiquement ses données sur tous ses ordinateurs (fixe, portable, boulot) et de partager facilement des documents avec un autre utilisateur. Les fichiers sont disponibles sur le disque dur ce qui signifie que l'on peut travailler dessus même sans connexion internet.
- La version gratuite comporte 2 Go de stockage mais la version payant permet d'étendre cette capacité.
Pré-requis
- Avoir les droits pour installer un logiciel sur son ordinateur
- Fonctionne sur toutes les plateformes : Linux, Mac Os et Windows
Quelques applications
- Synchroniser ses fichiers automatiquement sur tous ses ordinateurs sans avoir les problèmes de version (Laquelle est la bonne ? Celle sur mon portable ? Celle sur ma clé USB)
- Partager un dossier et donc des documents (de toutes natures, bureautique, image,...) avec une ou plusieurs personnes
- Pouvoir travailler sur ses documents même quand on n'a pas accès à internet
- Pouvoir créer très facilement une galerie de photos visible par tous
- Avoir un lieu public sur le web où déposer des gros fichiers afin de pouvoir transmettre des fichiers trop lourds pour le mail
- Avoir une sauvegarde automatique de ses fichiers
- Pouvoir accéder à ses fichiers depuis n'importe quel ordinateur relié au web.
Prise en main
- Un tutoriel en image sur l'installation de Dropbox, son utilisation personnelle et le partage de fichiers Tutoriel sur l'installation de Dropbox
Pour aller plus loin
- La suite du tutoriel, toujours en image, sur les différentes options de partage, la mise en place d'une galerie photo ou de fichiers publics Tutoriel sur le partage de fichiers avec Dropbox
Avantages
- Tous nos fichiers, toujours sous la main, quelque soit l'ordinateur
- Partager tous les formats de document possible, en temps réel, automatiquement, avec différentes personnes
- Pouvoir travailler sur ses fichiers même si on n'a pas accès au web
- Sauvegarder automatiquement ses fichiers
- Dropbox conserve les dernières versions de nos fichiers, on peut donc récupérer d'anciennes versions en cas d'erreur.
Inconvénients
- Le partage de fichier fonctionne mal quand il s'agit d'un document où plusieurs personnes travaillent en même temps ou sur la même période de temps ensemble dessus (ex. remplir un dossier à rendre dans deux jours, planning des membres du réseau) car quand deux personnes travaillent en même temps, les deux versions sont enregistrées et il faut à la main, faire les modification pour les fusionner.
Pour cet usage préférer un outil permettant les modification synchrone comme Etherpad ou Google Document
- C'est compliqué et source d'erreur d'avoir deux comptes Dropbox sur la même machine
- Les documents des dossiers partagés comptent sur nos 2 Go alloués
Avantages
De nombreux modules pour créer animer une communauté (formulaire, forums, newsletter, création de groupes...). Une relative souplesse. Possibilité de choisir une licence Créative commons pour les contenus.
Inconvénients
Un peu complexe dans l'installation, la configuration et l'administration.
Licence
Licence libre
Utilisation
Il y a plus facile mais aussi plus compliqué
Auteur de la fiche
Frédéric Renier, Supagro Florac
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
Un Etherpad est un service en ligne qui permet de prendre des notes à plusieurs personnes simultanément. A une page de rédaction est associé un chat.
Etherpad est aussi un logiciel libre que l'on peut installer sur un serveur.
Prise de notes collaboratives dans une réunion. Les conséquences sur les rapports de domination dans un groupe sont importants, cet usage contribue à faire "bouger les lignes".
Prises de notes entre partenaires à distance en couplant le pad avec un outil de visioconférence. Cependant il n'est pas toujours aisé de partager son attention et son écran pour deux applications.
Suivi en direct de l'avancée d'une réunion, avec possibilité de poser des questions dans l'espace "chat".
Pour aller plus loinSe créer un compte privé sur Framapad
En créant un compte sur Framapad.org, vous créez un espace de travail où vous
pouvez inviter des utilisateurs (dont l'accès est protégé par mot de passe), créer des pads internes au groupe ainsi formé, et avoir accès à des fonctionnalités
d'administration de vos pads : listage, archivage, téléchargement, suppression.
Un pad créé depuis un compte est donc être réservé, par défaut, aux seuls membres du compte (privé), mais il peut également être ouvert à tous comme les pads publics, ou encore protégé par un mot de passe spécifique. Tutoriel sur l'intérêt et l'utilisation de pad privé
Avantages
Le grand classique des premières expériences irréversibles de coopération
Très très simple d'utilisation, toute participation est directement visible par les autres, beaucoup de possibilités d'export, permet une co-rédaction en synchrone, "wysiwyg" (la mise en page se fait comme dans un traitement de textes classique).
Les notes prises sont plus complètes.
Inconvénients
Créer un pad directement à partir de la barre d'adresse du navigateur peut constituer un obstacle méthodologique important.
Limité à 16 connections simultanées (information à vérifier)
Selon la qualité de la connexion internet l'expérience peut être totalement contre productive
En introduction
Carnet de note virtuel, Evernote est un outil gratuit qui permet de mieux gérer son information au quotidien en centralisant en un seul et même lieu toutes ses données.
L'inscription à ses services est gratuite. Il dispose également d'une version premium (donc payante) qui propose des applications avancées (1 Go par mois de téléchargement vers votre espace, accès au support technique, meilleure sécurité).
Quelques applications
Evernote offre une multitude de fonctionnalités :
Capturer des pages web comprenant du texte, des liens et des images.
Stocker et archiver ses informations sous forme de prise de notes et sur un portail personnel. Organiser et structurer ses notes en les rassemblant par carnets et mots-clés.
Les conserver sans limite de temps.
Prise en mainGuide de prise en main réalisé par Sylvie Roth et Frédéric Soussin, pour CRéATIF.
Avantages
Simple à utiliser, ce logiciel permet de centraliser toutes ses données via une interface bien réalisée et de les synchroniser sur ses différents appareils. Il existe pour une utilisation nomade: iPhone, iPad, BlackBerry, Android etc.) et propose des extensions à installer dans la barre d'outils des navigateurs pour capturer directement les contenus lors de la navigation. Il offre la possibilité d'effectuer une recherche dans ses notes par mots clés, par titres ou encore par lieux. Evernote permet également de partager ses dossiers avec d'autres utilisateurs.
Inconvénients
Il existe une version du logiciel disponible en ligne sur le Web mais également une version client du logiciel qui doit être installé sur chaque ordinateur et téléphone utilisé (Mac, Win, Android). Il ne gère pas encore les vidéos (sauf le flux d'une webcam) et est doté d'un éditeur de texte qui reste un peu limité. Enfin, la version gratuite offre seulement la possibilité de lire les bloc-notes d'un autre utilisateur et non de les éditer, l'utilisation collaborative d'Evernote est donc limitée.
Licence
Freemium
Utilisation
Il y a plus facile mais aussi plus compliqué
Avantages
On visualise les différentes personnes présentes en réunions. Il y a une procédure qui permet de gérer les prises de paroles. Flashmeeting enregistre la visio-conférence et on peut la rejouer. De nombreux outils sont associés (chat et possibilité d'envoyer des documents), utiles en cas de défaillance matérielle (problèmes de son, par exemple).
Inconvénients
Pour créer une conférence, il faut ouvrir un compte auprès de l'Open University et l'interface est en anglais, il faut réserver un espace de visio-conférence avant la réunion.La procédure de prise de parole fige un peu la discussion. Ne fonctionne pas toujours sous Linux.
Licence
Licence libre
Utilisation
Il y a plus facile mais aussi plus compliqué
Ne proposer que des dates où les personnes dont la présence est indispensable sont disponibles
Éviter de proposer trop de dates, cela dilue les réponses. Conséquence possible : la date qui a eu le plus de suffrages ne correspond qu'à une minorité du groupe
Fixer une date de fin du sondage
Attention quand on a plusieurs Framadate en cours : en tenir compte dans ses réponses
Avantages
Il répond parfaitement aux besoins des groupes à trouver une date commune.
Le fait que les participants voient les réponses des autres incitent à trouver un consensus.
C'est un outil très très simple d'utilisation, son introduction dans des groupes débutants peut constituer une première étape, une "petite expérience irréversible".
Logiciel libre
Hébergé par une association Loi 1901 : pas d'appropriation, ni de revente des données
Il évite de bourrer sa boite mail inutilement quand on doit caler une date à plusieurs.
Inconvénients
L'outil ne résout pas les problèmes de manque de disponibilités.
Ce sont les premiers qui répondent qui sont le plus avantagés.
Ne convient pas pour les réunions confidentielles ou les choix secrets car le sondage ou les participants sont visibles par tous
Service en ligne maintenu par des bénévoles : al disponibilité du service n'est pas garantie
Auteur de la fiche
Frédéric Renier, Supagro Florac, Outils-Réseaux
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
Freeplane est un logiciel libre qui s'installe en local sur le poste de travail (Mac, Windows et Linux). Il permet de créer des cartes mentales qui pourront être exportées en html sur un page web.
Pour commencer une carte mentale, on place au centre le thème de réflexion. Pour chaque nouvelle idée liée à ce thème, on crée une branche et on écrit l'idée dans un nud. Puis on développe cette branche en créant des sous branches.
Quand toutes les idées sont sur la carte, c'est le moment de la mettre en forme, ajouter des icônes, dessins ou images, choisir une couleur par branche. Plus la carte est mise en forme et imagée plus elle sera compréhensible et facile à retenir.
Pour traduire visuellement la hiérarchie des idées, on part du général (écrit en gros et au centre) au particulier (écrit de plus en plus petit au fur et à mesure que l'on s'éloigne du centre).
Les cartes mentales sont des procédés qui font travailler les deux hémisphères du cerveau en synergie. Cela permet notamment d'utiliser les processus associatifs et imaginatifs propre à la pensée. Le fait de devoir placer un concept quelque part sur la carte oblige à penser sa relation aux autres concepts.
En introduction
Google Docs est une suite intégrée de bureautique en ligne, gratuite. Il permet notamment de créer et éditer son travail, de rédiger à plusieurs et en même temps un document (tout en voyant toutes les modifications en temps réel) et de le stocker. En somme, de travailler en ligne de manières efficace et collaborative !
Avantages
- le fait que tous les fichiers soient en ligne permet un partage facile avec les autres. Très bon outil collaboratif.
- Permet de consulter tous ses documents de n'importe quel poste.
- Permet d'être sûr que le document consulté est le dernier mis à jour.
- Dispose de fonctionnalités avancées intéressantes : gestion et diffusion d'un questionnaire en ligne, exportation d'un document en PDF etc.)
Inconvénients
- La fonctionnalité tchat ne concerne que le texte.
En introduction
Outil gratuit de la suite Google Document permettant de créer des questionnaires disponibles en ligne dont les résultats sont recueillis sous la forme d'une page de tableur.
En introduction
Jing est un logiciel gratuit non libre.
Il permet tout d'abord d'effectuer des captures d'écrans de taille réglable, mais aussi un enregistrement visuel et sonore de son écran en format swf doté d'un player. La version payante permet en outre d'enregistrer des séquences vidéos ou de générer un format mp4.
Quelques applications
Un tutoriel Médiablog réalisé avec Jing et publié sur leur site screencast.com (mais on peut aussi enregistrer la vidéo générée, la stocker sur son disque dur et la publier ailleurs) : http://www.screencast.com/t/YzE0ZTY5ND.
En introduction
Jog theWeb est un outil gratuit qui permet de collecter des ressources numériques, de les organiser en classeurs virtuels (jog), et de les partager en ligne. Créé à la base pour faciliter le travail des enseignants, il permet à l'utilisateur de mettre en cohérence l'ensemble de ses pages web, en les regroupant au sein d'un parcours thématique, et de les annoter d'un commentaire destiné à guider celui qui les parcourt.
Quelques applications
En résumé, Jog the Web permet :
d'organiser très facilement ses ressources documentaires car il fonctionne exactement comme un classeur, avec un système d'intercalaires virtuels.
de créer de véritables visites guidées de contenus, via un parcours pédagogique.
de guider ou d'être guidé par les commentaires laissés sur chaque page (consignes, questions, clarification des enjeux du jog etc.)
de diffuser le classeur réalisé, en mode public ou privé (via un mailing list).
d'avoir accès aux parcours des autres utilisateurs via un moteur de recherche classique ou par le biais de catégories.
d'être utilisé de manière collaborative. Les destinataires pouvant communiquer, au travers de billets, sur le contenu présenté : proposer une ressource supplémentaire, faire un témoignage ou simplement poser une question.
de mettre enfin fin aux polycopiés qui s'entassent.
Prise en main
L'utilisation de Jog the Web est extrêmement simple. Il suffit de récupérer les adresses URLs des documents que vous souhaitez faire figurer dans votre classeur et de les relier. Voici néanmoins une petite présentation prezi, destinée à faciliter la prise en main de cet outil :
Avantages
Outil très facile à utiliser qui permet une sélection de ressources ciblées et une progression dans la lecture. Possibilité de partager sa veille. Idéal pour présenter une revue de presse numérique, il est particulièrement utile dans les cas d'apprentissage, pour les enseignants/formateurs, car il fait appel à tous les modes de gestion mentale (son, image, texte).
Une plateforme collaborative consacrée aux usages éducatifs de cet outil a d'ailleurs été créée. Baptisée Jog Educ, elle vise à encourager les échanges entre les enseignants utilisateurs de Jog the Web.
En introductionUne nouvelle pratique s'est considérablement développée depuis 2011 au sein de la Toile et ne cesse de faire parler d'elle : la curation (ou curating). Destinée à lutter contre l'infobésité et à redonner par là-même du sens au web social, elle consiste à sélectionner des contenus en ligne d'après leur pertinence et selon un thème spécifique, à les éditorialiser et les partager. A la différence de la simple veille documentaire qui consiste à collecter linformation et à transmettre les fruits de ses recherches, ce concept met l'accent sur l'éditorialisation. Ici, l'information est contextualisée et la subjectivité clairement revendiquée !
Présentation du concept abordéLa mission du curator
Né aux Etats-Unis, le terme de curation fait l'analogie avec la mission du curator, le conservateur de musée chargé de choisir des uvres dart qui seront mises en valeur lors d'une exposition. Sorte d'éditeur du web, le curateur va ainsi à sa manière orchestrer une veille sur une thématique particulière en prenant soin de sélectionner les informations qui lui semblent intéressantes, éventuellement les commenter, les valoriser et partager le tout. En somme, il s'attache à constituer une revue de presse de contenus numériques et à la diffuser via une plateforme dédiée (Scoop.it, pearltrees, Paper.li etc.).
En vieux français, la curation désigne la guérison et son processus. En ce sens, la curation apparaît comme un remède pour faire face à la surabondance d'informations.
Résumé, traits caractéristiquesVeilleur et curateur, quelles différences ?
Le veilleur
1. répond à une demande quand elle n'émane pas de ses propres besoins
2. sélectionne des sources qui produisent du contenu
3. peut travailler sur n'importe quelle thématique, dans la limite de ses compétences
4. n'adopte pas de point de vue ou de ligne éditoriale
Le curateur
1. a une attente
2. éditorialise des sources pour produire du contenu qualifié et valorise l'information par la mise en avant des sujets, la mise en page des articles etc.
3. est mû par un ou des centres dintérêt et a donc souvent une thématique de prédilection.
En introduction
Fondé par le spécialiste de psychologie animale Watson (1913) dans le prolongement des recherches sur le conditionnement animal menées dès 1889 par le scientifique Russe Pavlov, le béhaviorisme fut développé par les psychologues américains Holland et Skinner. A partir d'expérimentations menées sur des rats et des pigeons, Skinner a tenté de démontrer que le comportement pouvait être façonné en fonction des réponses souhaitées (« reinforcement theory »). Partant du postulat que tout comportement résulte d'un apprentissage, ce courant sattache à l'étude des comportements manifestés par l'individu. Il sintéresse aux résultats observables (l'environnement et le comportement) plutôt quaux processus dapprentissage.
Présentation du concept abordé
Les connaissances sont considérées par le béhaviorisme comme une réalité externe objective que lapprenant doit assimiler et reproduire et l'apprentissage comme le résultat d'un conditionnement qui peut prendre deux formes : le « conditionnement classique » et le « conditionnement opérant ».
Le conditionnement classique (pavlovien) consiste à déclencher un comportement « répondant » c'est-à-dire produit de manière involontaire par l'individu en réponse à un stimulus. En administrant le bon stimulus, l'enseignant(e) obtient une modification du comportement chez l'apprenant. Le conditionnement classique se base sur l'expérience bien connue du chien de Pavlov qui se déroule en trois étapes. La première étape consiste à produire un stimulus qui va déclencher par réflexe un comportement chez l'animal : lui présenter de la nourriture (« stimulus inconditionnel ») déclenche sa salivation (« réponse inconditionnée »). La seconde consiste à émettre un son de cloche (« stimulus neutre ») précédant à chaque fois la présentation de la nourriture. La troisième étape se caractérise par l'obtention du résultat souhaité : après une certaine quantité de répétitions de ces séances le son de cloche déclenche par lui-même la salivation (« réponse conditionnée ») chez le chien.
Le conditionnement opérant consiste quant à lui à produire un comportement volontaire à l'issue de l'apprentissage. Ce comportement s'effectue au travers de variables de contrôle : « le renforcement positif », « la punition positive », « le renforcement négatif » et « la punition négative ».
Résumé, traits caractéristiques
Le mode de travail pédagogique sur lequel est basé le courant béhavioriste est un mode réactif. Lapprenant est perçu comme un réceptacle dans lequel lenseignant déverse ses informations. Il écoute, observe et tente de reproduire ce que lui dispense l'enseignant qui est celui qui possède le savoir. L'apprentissage repose ainsi principalement sur lexposé magistral, la pratique répétée et le découpage en petites unités logiques de l'enseignement afin de faciliter la mémorisation des savoirs et savoir-faire.
En introduction
Reprenant le concept dassimilation/accommodation cher aux cognitivistes, le courant constructiviste l'a dépassé en démontrant que ce processus était en réalité le fruit d'une interaction sociale dans laquelle lapprenant était co-auteur de lacquisition de son savoir. C'est ici son implication qui est le moteur même de l'apprentissage. Le représentant principal de ce courant est Jean Piaget (1896-1980), un psychologue, biologiste, logicien et épistémologue suisse qui centra son étude sur le développement des habiletés de la pensée et du raisonnement du cerveau humain. Sa contribution majeure fut d'expliquer comment se structurent les connaissances et les compétences par le sujet.
Présentation du concept abordé
Cette pédagogie est centrée sur le sujet. L'apprentissage est considéré comme le résultat dune construction des savoirs par étapes successives dont le moteur est la participation active de l'apprenant. C'est l'élève qui apprend par l'intermédiaire de ses représentations, elles-mêmes issues de ses expériences antérieures. Les conceptions initiales ne sont pas seulement le point de départ et le résultat de l'activité, elles sont au cur du processus d'apprentissage. Contrairement au béhaviorisme, l'enseignant ne peut pas déverser la connaissance dans la tête de l'apprenant comme il le voudrait. Son rôle consiste à soutenir ce dernier dans une recherche de sens en lui posant des questions, en stimulant sa curiosité, en l'amenant à manipuler des représentations externes et en facilitant la construction collaborative des connaissances.
Lev Vygotski (1896-1934), avec son concept de « Zone Proximale de Développement » (ZPD), a attiré l'attention sur le rôle fondamental de l'enseignant(e) dans la progression de lélève. La ZPD représente tout ce que lélève peut maîtriser quand il est guidé et aidé par une personne compétente, dans un processus collaboratif. Le rôle de lenseignant consiste ainsi à guider lapprenant « vers de nouveaux développements de ses connaissances et surtout de lui-même, comme personnalité ». Ce qui différencie principalement les théories de Piaget de celles de Vygotski est le rôle central que ce dernier accorde aux interactions sociales et au langage. Ce concept va donner naissance au socio-constructivisme, courant qui valorise une pédagogie active et non directive et qui s'articule autour dactivités collaboratives.
Résumé, traits caractéristiques
Le courant constructiviste représente aujourd'hui la base de référence théorique commune en matière de technologies éducatives. Il est considéré aux Etats-Unis comme le plus à même daccompagner les transformations scolaires attendues. Linard, citée par Chaptal (2003), résume le point de vue communément admis entre TIC et pédagogie : « le modèle behavioriste est dépassé, le modèle cognitiviste en voie de dépassement et le constructivisme non encore épuisé ». Sur le plan des technologies, ce courant a conduit au développement dapplications riches et multiples que Marcel Lebrun récapitule : « partir des expériences concrètes (vidéos, étude de cas, forums ), fournir des outils de réflexion (rappels des connaissances intérieures, grilles danalyse, questionnaires ), présenter des modèles dynamiques (logiciels de simulation, de modélisation, tableaux de synthèse, ), fournir loccasion dappliquer les connaissances acquises dans différents contextes, à la résolution de problèmes variés (études de cas, projets, problèmes, feedbacks, ) ».
En introduction
A l'inverse du béhaviorisme, le courant cognitiviste, qui s'est développé de la fin des années 50 aux années 70, s'est attaché à analyser les processus internes de lapprentissage et à mettre l'accent sur la connaissance. Il porte sur l'étude des processus mentaux et sintéresse à la manière dont l'information est reçue, traitée et transposée par les apprenants. Pour les cognitivistes, la réponse du sujet à un stimulus nest pas automatiquement fonction du stimulus lui-même mais de « linterprétation » que l'apprenant en a faite. Les connaissances sont une réalité externe que le sujet doit intégrer à ses schémas mentaux et réutiliser.
Présentation du concept abordé
L'apprentissage est ici perçu comme le processus par lequel « se développent, se transforment et sacquièrent les structures et les capacités cognitives individuelles du sujet au travers de ses actions sur lenvironnement ». Il est considéré comme réalisé lorsquun changement des structures mentales est observé. Il repose sur trois concepts majeurs :
- les schèmes, structures mentales par lesquelles l'individu organise son environnement ;
- l'assimilation qu'Alain Chaptal décrit comme « le processus cognitif par lequel un apprenant intègre de nouvelles informations et expériences dans les schèmes existants » ;
- laccommodation qui « conduit à enrichir les schèmes sans en changer la structure ».
Résumé, traits caractéristiques
Le courant cognitiviste est tourné vers un mode de travail pédagogique proactif au sein duquel les apprentissages s'axent sur les manières de penser et de résoudre des problèmes. Tout le rôle de l'enseignant consiste ici à recourir à des méthodes et des médias pour faciliter l'assimilation et la mémorisation de l'information par l'apprenant : simulation, modélisation, résolution de problèmes etc. Les technologies trouvent toute leur place dans ce modèle pédagogique car elles représentent autant de supports pour aider à lélaboration de ces stratégies mnémoniques : sélection et traitement rationnel de linformation, utilisation de schémas organisateurs pour former des images mentales significatives (par exemple les cartes heuristiques qui sont de plus en plus utilisées dans le système scolaire) etc.
Présentation du concept abordéDistinction entre standard et norme (le terme est le même en anglais)
- pour créer une norme, il suffit d'en décrire les principes, en se préoccupant seulement du fait que ces utilisateurs la respectent, sans se préoccuper du fait que le nombre de ses utilisateurs soit grand.
- une "norme" devient un "standard" lorsque "tout le monde" l'utilise.
Résumé, traits caractéristiquesDéfinition légale en France
La loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour « la confiance dans l'économie numérique » définit ainsi l'ouverture des formats :
« On entend par standard ouvert tout protocole de communication, d'interconnexion ou d'échange et tout format de données interopérable et dont les spécifications techniques sont publiques et sans restriction d'accès ni de mise en uvre. »
Exemples de formats standards
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- PDF
- RTF
Auteur de la fiche
Daniel Mathieu et SupAgro Florac
En introduction
Dans de nombreux pays (dont la France et les Etats-Unis) à partir du moment où une oeuvre de l'esprit est créée, le droit d'auteur s'applique automatiquement, protégeant l'oeuvre et son auteur.
Ainsi toute personne souhaitant diffuser, publier, modifier l'oeuvre doit en demander l'autorisation à son auteur, qui lui accordera, ou non, de manière gratuite ou onéreuse.
Les licences libres sont des textes juridiques "prêts à l'emploi", permettant au créateur de donner plus de droits à d'autres personnes sur son oeuvre, sans forcément avoir de connaissances juridiques particulières.
Présentation du concept abordé
Loin d'ignorer les droits de l'auteur, les "licences libres" les reconnaissent et les protègent !
Alors que l'usage habituel du droit de la propriété littéraire et artistique conduit à restreindre l'accès du public aux uvres, les "licences libres" ont pour but de le favoriser. En effet, tous les créateurs d'oeuvre ne sont pas hostiles à la diffusion de leurs oeuvres. Au contraire même, un certain nombre souhaite que leurs oeuvres puissent être diffusées largement (musique, photographie,...) et même modifiées, améliorées ou personnalisées (cours, article, logiciel,...). Or par défaut (en droit français et dans de nombreux droits), les oeuvres de l'esprit sont protégées de la manière la plus stricte afin de proposer la plus grande protection possible aux auteurs.
Les licences libres permettent donc aux auteurs qui le souhaitent, et sans connaissances juridiques particulières, de "libérer" leurs oeuvres afin de faciliter leur diffusion, tout en les protégeant, car ces licences restent opposables dans le droit national de l'auteur.
Comment "libérer" une uvre ?
En associant à l'uvre un contrat d'utilisation (licence) pour, selon la licence choisie :
- autoriser tous les utilisateurs à reproduire et diffuser l'uvre librement, sans autorisation
- permettre de modifier l'uvre initiale
- autoriser ou non un usage commercial de l'uvre
- obliger toute personne modifiant son oeuvre à diffuser la nouvelle oeuvre selon la même licence
Résumé, traits caractéristiques
Les oeuvre libres, pour quoi faire ?
- faciliter la diffusion des connaissances
- créer des biens communs
- autoriser la collaboration pour faire évoluer une uvre, un logiciel
Du logiciel libre
- Issu de l'expérience de Linux (30 millions de lignes de programmes collaboratives)
- étendue à de nombreux logiciels sur le net : système LAMP (Linux, Apache, MySql, Php), Open Office...
- Plusieurs licence possibles : BSD, GNU/GPL, CeCILL (Cea, Cnrs, Inria)
- Les sources du logiciel doivent être libre d'accès : serveur spécifique (CVS)
- La GPL Impose de transférer aux logiciels dérivés les mêmes droits que ceux du logiciel initial ; la GPLL ne l'impose pas.
D'autres licences libres
- Licence art libre : licence applicant le domaine du Copyleft dans l'art. Cette licence autorise la diffusion, la modification sous réserve que l'oeuvre modifiée soit sous la même licence
- Licence information publique librement réutilisable : en France, permet la diffusion, la réutilisation de données publiques, de manière commerciale ou non. Toutes les données publiques ne sont pas encore sous cette licence
Zoom sur
Les licences Creative Commons
Système de licences libres, multilingue offrant un panel de solutions adaptées à toutes les uvres. Elles ont été adaptées en droit français par le CERSA (dépendant du CNRS)
Les choix possibles :
- Autorisez-vous les utilisations commerciales de votre création ?
- Autorisez-vous les modifications de votre création ?
- Si oui, à la condition que les créations dérivées soient partagées selon les mêmes conditions que la création initiale
Il suffit d'apposer le logo correspondant à la licence choisie pour que l'oeuvre soit protégée.
Pour choisir la licence et recupéré le logo correspondant : http://creativecommons.org/
Pour aller plus loin
Où trouver des oeuvres libres ?
Utiliser des oeuvres libres (en respectant leur conditions de licence) c'est à la fois respecter le travail des créateurs et participer à la démarche. En pratique :
- Images, vidéo, sons : http://search.creativecommons.org/ ou http://commons.wikimedia.org/
- Logiciels : http://www.framasoft.net/
- Google Image, Flickr, Youtube : en cliquant l'option dans la Recherche avancée.
En introductionLe télétravail est un phénomène en constante évolution. Il se définit comme "une forme d'organisation ou de réalisation du travail qui utilise les technologies de l'information, dans le cadre d'une prestation de service ou d'une relation d'emploi, et est effectué hors des locaux du donneur d'ordre ou de l'employeur de façon régulière (à domicile, de façon nomade ou dans un télécentre)" (wikipédia).
Il recouvre plusieurs formes : chez soit, dans un centre de télé-travail # Nomade (déplacements fréquents) / salarié # indépendant / régulier # ponctuel. Et trois statuts : salarié dune entreprise / indépendant : enregistré au registre du commerce avec un numéro de SIRET : entreprise individuelle, EURL, SARL, .../ portage salarial (solution alternative).
Tous les métiers dans lesquels lordinateur est devenu un outil de travail, peuvent être exercées dans le cadre de lune ou lautre des formes dexercice du télétravail (iinformatique, communication, marketing, juridique, services après vente etc.)
- Amélioration de la qualité de vie
- choix du lieu d'habitation
- gestion du temps
- Développement de la motivation : autonomie dans la gestion du travail, une implication différente dans le travail
- Amélioration de la concentration (limitation des nuisances sonores) et donc de l'efficacité
2. Pour l'entreprise
- Accroissement de la productivité
- plus de motivation : gestion par les résultats, autonomie, responsabilisation des salariés
- accroissement du temps réel travaillé et diminution des retards
- réduction du stress et de la fatigue des salariés et donc des arrêts de travail pour maladie
- renforcement de la réactivité
- Diminution des frais de fonctionnement : locaux
- Pacification des relations sociales par l'amélioration de la qualité de vie des salariés
3. Pour l'environnement
- diminution des transports
- diminution de l'hyper-concentration dans les centres urbains
"Un calcul rapide montre que si 15% de la population active se mettait au télétravail deux jours par semaine (ce qui est en pratique assez réaliste), lémission de gaz carbonique dans latmosphère en serait diminuée de 20 à 30 millions de tonnes par an (léquivalent de 6 à 8 centrales nucléaires)" (déclaration d'Autrans 2008).
En introduction
Le web 2.0 est un terme inventé en 2004 par Dale Dougherty de la société OReilly Media et popularisé en 2005 par Tim OReilly. Dans un article intitulé Quest-ce que le web 2.0 ?, ce dernier redéfinit Internet non plus comme un simple média mais comme un support à l'intelligence collective. Véritable révolution qui place lutilisateur au coeur du web et marque un retour aux fondamentaux pour certains, vaste escroquerie marketing pour d'autres, ce concept recouvre des sens et des réalités bien différents.
Pour les utilisateurs, il est synonyme d'outils plus participatifs, que l'on peut s'approprier. Pour les développeurs, de formats, de standards, de technologies qui permettent de relier les systèmes. Dans la vision marketing, il recouvre la notion de services au sein desquels les utilisateurs créent le contenu ainsi que de modèle économique où la gratuité est la règle.
Résumé, traits caractéristiques
Collaboration, interaction, échange et évolutions technologiques figurent parmi les maîtres mots du web 2.0.
1. La participation renforcée des internautes (blogs, wiki, tags,...)
Le web devient un média social, voire « citoyen » où tout le monde peut devenir auteur (WikiPedia).
La production de contenus web est démocratisée grâce au développement de technologies : blogs, wikis, podcasts, photos et videos numériques, etc), à la généralisation du haut débit et à lémergence dune nouvelle génération dinternautes natifs du numérique.
2. Des frontières abolies
Le web 2.0 fait disparaître les frontières : les sites et services ne sont plus des îlots informationnels séparés. Ils communiquent entre eux et autorisent de multiples re-combinaisons :
entre applications (inter-opérabilité, combinaison d'applications...) : calendriers, cartes...
entre médias (ordinateur,téléphonie, lecteur audio,vidéo, Internet), avec l'avènement du Web comme canal principal
3.Lamélioration des interfaces
Les interfaces deviennent plus ergonomiques grâce à une simplification des actions : moins de clics (« glisser/déposer »), plus de confort (enregistrement automatique des modifications), cf netvibes.com.
4. La webisation des applications de bureau
Les applications traditionnelles désertent bureau local (desktop) pour rejoindre le bureau web (webtop). Expl : « Office live » de Microsoft
5. Un secteur instable
Les sites et services se réclamant du web 2.0 ne cessent d'augmenter. Les services sont gratuits ou accessibles à des coûts très réduit. La grande majorité des entreprises proposant des services 2.0 ont ainsi moins de 24 mois...
Auteur de la fiche
Outils Réseaux et SupAgro Florac
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
Logiciel libre pour la création de formulaires et d'enquêtes. Le grand frère de Google Formulaire : + de possibilité et d'option mais demande plus de temps de prise en main.
Un espace de test pour créer des formulaires (login : admin ; mot de passe : mot2passe
Avantages
Permet de récolter des données, des avis, très facilement et sous un format facilement traitable (beaucoup moins lourd à traiter qu'un formulaire papier)
De nombreuses options permettant de personnaliser son formulaire
Logiciel libre, les données recueillies sont sur le serveur (on ne les "donne" pas à Google)
Pas de limitation du nombre de participants
Possibilité d'exporter les résultats sous un format Calc ou Excel
Inconvénients
Doit être installé sur un serveur
Ergonomie demandant un temps de prise en main
Licence
Licence libre
Gratuit
Utilisation
Il y a plus facile mais aussi plus compliqué
Auteur de la fiche
David Delon, Florian Schmitt, Outils Réseaux
En introductionQuelles solutions peut apporter le logiciel libre pour aller vers un développement durable ?
Points abordés:
Présentation de la philosophie et du mode de fonctionnement des logiciels libres
Présentation du concept de développement durable.
Le logiciel libre est il vivable, viable et équitable?
Présentation du concept abordé
Imaginons un monde où :
- les tartes aux fruits ne sont disponibles que toutes prêtes
- pas de recette de tarte aux fruits disponible
- personne ne souhaiterait obtenir les recettes
Ce monde existe : le monde du logiciel depuis le début des années 80. (Ce monde existe également dans le domaine médical ou agronomique).
Au contraire dans un autre monde, on peut :
- lire, comprendre, réaliser une recette
- modifier une recette (tout en indiquant où ont été faites les modifications)
- redistribuer une recette modifiée, en donnant le droit à quiconque de la modifier à son tour
Ce monde existe, c'est le monde du Logiciel Libre.
Et en plus avec le logiciel, on dispose à la fois de la farine, du beurre, du lait, des oeufs, des fruits, du saladier, du rouleau à pâtisserie et du four.
- de lire, comprendre, compiler, utiliser un code source
- modifier le source
- partager ses modifications avec les mêmes droits que l'original
Garanties par des licences (GPL, Cecill).
Histoire
First they ignore you, then they laugh at you, then they fight you, then you win. Mohandas Gandhi
- 1984 : Démarrage du projet GNU (Gnu is not Unix) : outils système libres pour les développeurs
- 1990 : Des outils finalisés mais pas de plateforme libre pour les faire fonctionner
- 1991-1994 : émergence de Linux, développé par un étudiant finlandais, Linus Torvalds.
- 1993 : Société commerciale distribuant linux
- 1997 : Premières réflexions sur le fonctionnement de la communauté du libre (Cathédrale et le bazar).
- 2000 : Grands constructeurs informatiques assurant le support de linux (Ibm, Hp ...)
- 2002 : Premières distributions Linux orientées grand public (Mandrake, SuSe, ...)
- 2001-2005 : Open Office (Suite bureautique), Projet Mozilla (Navigateur), GIMP, Applications Web (CMS, Wiki)
- 2006 : développement des interfaces 3D pour linux : avancée unique dans le domaine des ordinateurs personnels.
Actuellement: les logiciels libres forment un système complet, utilisables dans presque tous les domaines.
Avantages pratiques du Logiciel Libre
Ouverture : accepter tout format d'échange, sur tout support. Pérennité : possession du code source induit la maîtrise de son évolution. Sûreté : bugs rapidement corrigés par la communauté. Souplesse : adaptation possible à des besoins particuliers. Autonomie : communautés d'utilisateurs pouvant s'entraider Faible coût : accessible pour le prix d'un cd-rom ou par internet
Zoom surLinux : un exemple complet de système libre
Linux, chef d'orchestre :
- se produisant en tout lieu : station de travail, serveur internet, assistant personnel.
- dirigeant tout type d'instrument :
- Applications systèmes (infrastructure Internet)
- Utilitaires (traitement de texte, tableur, messagerie, navigateur, traitement des images...)
- Applications métiers :
- Gestion de bibliothèque (Pmb)
- Formation à distance (Ganesha)
- Gestion activité médicale (Medintux)
- Commerce en ligne (Oscommerce)
- ...
Et la totalité du code source et le droit de modifier et redistribuer.
Pour aller plus loin
Accès au cours complet sur ce sujet.
En introduction
Moodle est une plateforme d'apprentissage en logiciel libre constituant un outil très puissant. Créée pour concrétiser les concepts de "formation Socio-constructiviste", Moodle est une plate-forme modulaire (il existe plus de 200 modules additionnels) qui offre de très nombreuses possibilités (présentation, format des parcours de formation...). Heureusement, il existe une vaste communauté d'utilisateurs de Moodle et la documentation est très abondante. Très au fait des nouvelles tendances pédagogiques comme technologiques, la communauté de Moodle s'intéresse aussi au Portfolio, au standard RSS, au Podcasting ou balladodiffusion. Moodle permet à l'enseignant de rapidement recréer un cours.
En introduction
Netvibes est un service en ligne qui permet de créer un portail réunissant des flux RSS (il y a d'autres fonctionnalités, mais c'est la plus intéressante) : à titre personnel (veille, suivi) ou pour un groupe, projet ou territoire.
Avantages
- Permet de créer un portail très ouvert et actualisé pour un groupe, un territoire. Permet de se créer un bureau personnel en ligne où centraliser sa veille.
Inconvénients
- C'est un service en ligne (y a-t-il pérennité des données ?), il faut se créer un compte.
Auteur de la fiche
Frédéric Renier, Supagro florac
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
Pearltrees permet d'organiser ses signets sous forme d'arbre. Il permet de partager ses favoris internet sur le web. Il permet de bénéficier de la veille d'autres internautes mais aussi d'organiser des groupes de veille collaboratives.
Auteur de la fiche
Outils-Réseaux et SupAgro Florac
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
Prezi est un logiciel de création de présentation en ligne. Sa particularité, par rapport aux logiciels de présentation classique type Impress ou Powerpoint est que le déroulé de la présentation n'est pas linéaire. L'ensemble de la présentation Prezi est sur un seul et même espace, on accède aux élements en zoomant et dézoomant.
Avoir un logiciel de lecture au format Flash installé (pour éditer son Prezi)
Quelques applications
Présentation d'un projet, en présence ou à distance
Création d'un support de cours ou d'un didacticiel disponible en ligne
Création d'une présentation à plusieurs à distance
Prise en main
Tutoriel de la création du compte à la création de son Prezi (attention la création d'un compte de type Edu présenté dans ce didacticiel n'est possible que pour les enseignants et étudiants)
Bien adapté à une présentation dans une logique d'attention (j'adapte le déroulé au public). Cette notion s'opposant à la logique d'intention : j'amène mon public du point A au point B
Permet une organisation du propos sous la forme d'une carte heuristique comme sous une forme linéaire
Présentation téléchargeable et donc présentable sans avoir internet
La présentation téléchargée est auto-executable, il n'y a pas besoin d'un logiciel installé pour pouvoir la présenter.
On peut accèder à ses présentations depuis n'importe quel ordinateur relié à Internet
Permet l'édition à plusieurs, en mode synchrone ou asynchrone
Inconvénients
Dans sa version gratuite, la création ne se fait qu'en ligne
Attention à l'effet "mal de mer" par abus des effets de rotation
Interface tout en anglais
Dans la version gratuite (hors éducation) toutes les présentations sont visibles en ligne, il n'y a pas d'espace privé
En introduction
La propriété intellectuelle est l'ensemble des droits exclusifs accordés sur les créations intellectuelles. Elle est composée de deux branches :
la propriété industrielle qui regroupe les créations utilitaires (brevets d'invention) et les signes distinctifs (marque commerciale, appellation d'origine)
la propriété littéraire et artistique qui s'applique aux uvres de l'esprit et comprend le droit d'auteur (ou copyright aux États-Unis) et les droits voisins (droits des interprètes)
Pour être protégés, les brevets d'invention, les marques et les modèles doivent :
ne pas avoir été précédemment divulgués
faire l'objet d'une procédure de dépôt auprès de l'INPI
la protection dure pendant 20 ans, sous réserve de payer les droits de maintien
Il est possible d'utiliser les technologies sous brevet ou les marques protégées sous réserve de payer une licence aux ayants-droits
La propriété littéraire et artistique
droit d'auteur : protection des œuvres de l'esprit de toutes natures (texte, musique, théâtre, œuvre graphique, plan...). Les titres des oeuvres sont aussi protégés, sous réserve d'originalité
droits voisins : relative aux interprètes et producteurs (musicien ou chanteur interprétant une œuvres qu'il n'a pas créé, producteur de disque,...)
bases de données : listes ou collections d'informations organisées. C'est la structure de la base qui est protégée.
En d'autres termes, une œuvres est protégée par la loi du seul fait de son existence en France (mais aussi aux États-Unis). Sans que l'auteur n'ait la moindre démarche à faire, le droit d'auteur s'applique à son œuvres.
Résumé, traits caractéristiques
La nature de l'œuvre
L'œuvre est réputée créée, indépendamment de toute divulgation publique, du seul fait de la réalisation, même inachevée, de la conception de l'auteur. (Extrait du Code de La propriété Intellectuelle français)
Des limites :
l'auteur doit pouvoir prouver l'authenticité de sa création pour assurer sa protection (# usurpation). C'est pourquoi, le dépôt de l'œuvre auprès d'une instance reconnue (SACEM, etc...) permet de renforcer la protection de l'œuvre (au delà de la protection légale de base) en permettant d'établir l'authenticité de sa création.
une œuvre doit être empreinte de la personnalité de l'auteur qui l'a réalisée. Ainsi le droit d'auteur ne s'applique pas au recensement de données objectives : descriptions naturalistes, données, bibliographie,...
une œuvre doit faire preuve d'originalité (# plagiat)
les idées, les principes, les concepts ne sont pas protégés par le droit d'auteur (par exemple E=mc²)
L'article L 113.2 du code français de la PI reconnaît trois types d'œuvres collectives :
Est dite de collaboration l'œuvre à la création de laquelle ont concouru plusieurs personnes physiques. Chaque contribution pouvant être identifiée. Exemple : ouvrage de compilation
Est dite composite l'œuvre nouvelle à laquelle est incorporée une œuvre préexistante sans la collaboration de l'auteur de cette dernière. Exemple : traduction d'un ouvrage
Est dite collective l'œuvre créée sur l'initiative d'une personne physique ou morale qui l'édite, la publie et la divulgue sous sa direction et son nom et dans laquelle la contribution personnelle des divers auteurs participant à son élaboration se fond dans l'ensemble en vue duquel elle est conçue, sans qu'il soit possible d'attribuer à chacun d'eux un droit distinct sur l'ensemble réalisé. Exemple : ouvrage édité par une association.
Titulaires du droit d'auteur (Articles L 113.3, 4 et 5 du code français de la PI)
L'œuvre de collaboration est la propriété commune des coauteurs
L'œuvre composite est la propriété de l'auteur qui l'a réalisée, sous réserve des droits de l'auteur de l'uvre préexistante
L'œuvre collective est, sauf preuve contraire, la propriété de la personne physique ou morale sous le nom de laquelle elle est divulguée
Présentation du concept abordé Un réseau coopératif : Ce que cest Ce que ça nest pas
- Un ensemble dacteurs indépendants les uns des autres # Des acteurs appartenant à une seule organisation
- Une appartenance fondée sur des compétences, valeurs ou objectifs communs # Une appartenance fondée sur des liens juridiques
- Des relations de coopération libres et volontaires. # Des relations de travail contraintes ou de collaborations prescrites
- Des contributions réciproques, une valeur ajoutée collective # Lexercice dune fonction selon une fiche de poste
- Des relations alternant distanciel et présenciel # Une communauté de lieu et de temps
Définitions proposées par Bruno Vincenti
Résumé, traits caractéristiquesLe Réseau, frontière entre lordre et le chaos
Systèmes ordonnés : administrations, grandes entreprises
-> Systèmes finalisés, mais lourds et souvent peu dynamiques
Systèmes chaotiques : ultra libéralisme, chaos politique
-> Systèmes très actifs, non maîtrisables, fondés sur lindividualisme
Système en réseau : communautés de pratiques
-> Systèmes finalisés, mais dynamiques et maîtrisables, fondés sur une éthique collective
Liens forts et liens faibles
Liens forts: laffect entre les individus est prépondérant et la transmission dinformation vers lextérieur est faible => réseaux intégraux ou fermés
Liens faibles : les frontières du réseau sont peu marquées et chaque individu ne se sent pas tenu par un pacte exclusif (appartenance à plusieurs réseaux) => quasi-réseaux ouverts sur lextérieur
Les réseaux ouverts sont caractérisés par :
- La liberté dengagement des individus
- Une organisation souple et des moyens de communications efficaces
- Le plaisir de partager et la valorisation du travail effectué (reconnaissance)
Groupe, communauté, réseau ?
Un groupe est structuré en fonction d'un objectif particulier :
Produire des choses pour le reste du monde
--> Groupe de travail, tourné vers l'environnement extérieur
Assurer une identité au groupe
--> Communauté, tourné vers le groupe en tant que tel
- Des personnes physiques, des organismes, des projets,...
- partageant un même domaine dintérêt, de compétences, de valeurs, sur un même territoire...
- et développant, ou susceptibles de développer entre eux, des relations de coopération de nature diverse.
- Les réseaux coopératifs sont une réponse particulière à une problématique économique, sociale ou territoriale pré-existante
- Ils némergent, ne se constituent et ne perdurent que sur un terrain favorable
- Ce terrain peut-être fertilisé par un ensemble doutils méthodologiques, technologiques et danimation adaptés.
Définition proposée par Bruno Vincenti
Zoom surRéseau et « intelligence collective »
- Intelligence collective : capacité dun groupe à atteindre dans laction une performance de niveau supérieure (JM Penalva)
- Permet de valoriser les potentialités de chacun au bénéfice de tous
- Rôle fondamentale de la libre communication entre les acteurs
- Notions dauto-organisation, entre « ordre et chaos » (R. Lewin)
Nous sommes plus « intelligents » à travailler ensemble quindividuellement
Pas de réseau sans communauté, pas de communauté sans « COMMUNS »
- Cest à dire des biens collectivement partagés
- Sapplique mal aux biens « rivaux », non partageables
Quels sont les « communs » que partagent les réseaux virtuels :
- Des connaissances et des savoirs
- Des pratiques et des expériences
- Des données et des informations
- Du plaisir et des passions
Les licences libres : rendre COMMUNES les créations intellectuelles
En introduction
Scoop it est une plate-forme en ligne qui permet de centraliser les fruits de sa veille en créant des topics (pages thématiques) sur un sujet précis, dans lequel sont agrégés des liens vers des pages web, et de les partager. Les contenus se présentent sous la forme d'une revue de presse attractive publiée sur internet. Les utilisateurs peuvent s'abonner aux comptes d'autres usagers, suivre leur veille mais aussi « rescooper » l'information (comme ils la « retweeteraient » sur Twitter).
Ce service est doté de nombreuses fonctionnalités qui offrent la possibilité de modifier l'ordre d'apparition des "articles" (c'est-à-dire des pages web citées) ainsi que les images, de créer un édito ou encore de commenter les pages.
Avantages
Facile à utiliser et prêt à l'emploi, Scoop it est à la fois un très bon outil de veille et un service efficace pour agrandir son réseau autour de sujets précis. Très axé réseaux sociaux, il permet de partager facilement son contenu sur Twitter et Facebook. Il offre également la possibilité à l'utilisateur de suggérer des contenus à un autre usager. Il dispose également d'une fonction de classement par tags qui permet de retrouver facilement les informations publiées ainsi que d'un outil de statistiques.
Inconvénients
Scoop it manque d'un système pour catégoriser ses ressources et d'un sommaire.
La version gratuite est limitée : l'utilisateur ne peut créer que 5 topics avec son compte et un topic ne peut être alimenté par plusieurs curateurs. Dans cette version, il n'est donc pas optimisé pour la collaboration.
En introduction
Skype est un service gratuit de téléphonie par internet qui permet de discuter à deux ou à plusieurs (en ayant un compte Skype). Le service propose aussi un service de visioconférence, chat, partage de fichier et partage d'écran.
En introduction
"SPIP fait partie de ces sites sous CMS. Il sagit ni plus ni moins que lune des plus grandes réussites logicielles issues de la sphère francophone libre (avec par exemple la distribution Linux Mandriva mais là on sort de lassociatif pour entrer dans le monde de lentreprise). Cest également une réussite coopérative car le projet est soutenu par une ample et active communauté qui lui assure réactivité, qualité et pérennité." (issue de la fiche Framasoft)
Avantages
Beaucoup de possibilités de personnalisation, de fonctionnalités, grosse communauté de développeurs, multilinguisme.
Inconvénients
Un peu difficile à configurer (le langage des boucles spécifiques aux squelettes SPIP est un peu difficiles à prendre en main), il y a beaucoup d'étapes avant la mise en ligne d'un article ce qui peut limiter la coopération.
Licence
Licence libre
Utilisation
Il y a plus facile mais aussi plus compliqué
En introduction
Ce module décrit l'installation, la configuration et l'utilisation d'un logiciel de messagerie, Thunderbird, pour organiser la communication (asynchrone) au sein d'un groupe de travail, d'une structure ou d'un réseau etc.
Après une description des compétences de base à acquérir pour installer et configurer ce logiciel, l'accent sera mis sur l'utilisation de liste de discussion, outil encore indispensable à la communication à distance dans un contexte coopératif.
Présentation
Thunderbird est un logiciel libre et gratuit de courrier électronique, fonctionnant sous Windows, Mac OS X et Linux, pour :
Communiquer : envoyer et recevoir des messages électroniques.
Classer et trier son courrier
Eliminer automatiquement le courrier indésirable
et plein d'autres choses encore !
Facile à utiliser, personnalisable, complet et performant, libre et gratuit !
Pré-requis
Avoir un accès Internet et les codes administrateur de sa machine.
Posséder une adresse mail.
Quelques applications
Créer une liste de diffusion avec Thunderbird :
Liste de discussion et liste de diffusion
Une liste de discussion ou liste de diffusion est une utilisation spécifique du courrier électronique qui permet le publipostage d'informations aux utilisateurs qui y sont inscrits.
- Liste de discussion : liste d'échange, par courrier électronique, sur un sujet thématique, de n vers n.
- L'inscription à la liste peut être libre ou soumise à approbation ;
- L'inscription à la liste peut être libre ou soumise à approbation ;
- L'envoi de messages peut être ouvert à tous ou restreint aux abonnés ;
- La liste peut être modérée, certains messages n'étant relayés qu'après validation.
- Liste de diffusion : liste en lecture seule, par courrier électronique, de type lettre information, de un vers n.
- L'inscription à la liste peut être libre ou soumise à approbation ;
- Forum Web : liste de discussion "en ligne".
S'abonner ou se désabonner à une liste de diffusion ou de discussion
S'abonner
En remplissant un formulaire d'inscription en ligne : ExemplesMessagerie
En répondant à une invitation
En envoyant un message d'enregistrement au robot gérant la liste
- stagiaires_outils-subscribe@outils-reseaux.org
Se désabonner
- Souvent en cliquant sur un lien dans les messages de la liste
- stagiaires_outils-unsubscribe@outils-reseaux.org
Écrire à une liste de discussion
- Il suffit d'envoyer un message à nom-de-la-liste@domaine-de-la-liste.fr
- Tous les inscrits à la liste reçoivent le message et peuvent y répondre.
- Attention à qui on répond !
- Réponse à tous
- Réponse à l'expéditeur.
Créer une liste de diffusion à partir d'un carnet d'adresse
Dans Thunderbird, une liste de diffusion est un groupe d'adresses électroniques (provenant du carnet d'adresses) auxquelles on envoie, en une seule action, le même message.
Si vous envoyez souvent des messages aux mêmes destinataires, vous apprécierez la création et l'utilisation d'une liste de diffusion qui vous évitera d'écrire ou de sélectionner à chaque fois les adresses de chaque destinataire.
- Cliquez sur le bouton Adresses de la barre d'outils.
- Dans la fenêtre intitulée Carnet d'adresses, cliquez sur le bouton Nouvelle liste
- Pour remplir la liste de diffusion, il existe deux méthodes : soit on saisit successivement chacune des adresses, soit on fait un glisser-déposer de plusieurs adresses sélectionnées.
Prise en main
Installer Thunderbird sur :
Windows
Assurez-vous d'être sur un compte utilisateur ayant les droits d'administrateur, puis double-cliquez sur le fichier exécutable de Thunderbird nommé Thunderbird Setup 2.exe. Après quelques secondes, la fenêtre de bienvenue s'affiche.
Mac
Double-cliquez sur l'archive compressée (fichier Thunderbird 2.0.dmg). Une fenêtre contenant la licence s'affiche : cliquez sur le bouton Accept.
Importer du courrier d'un compte existant :
A l'issue de l'installation de Thunderbird, l'assistant d'importation apparait automatiquement pour vous permettre de récupérer des messages d'un précédent logiciel tel Outlook Express.
Créer et configuration un compte :
En fonction des paramètres communiqués par votre service de gestion de mails.
Trucs et astuces pour démarrer un réseau coopératif
Auteur de la fiche
Outils-Réseaux
Licence de la fiche
CC-BY-SA
En introduction
Les outils ne sont pas collaboratifs par nature, ils le deviennent lorsqu'ils sont utilisés à bon escient et dans un contexte favorable.
Les "trucs et astuces" listés ci-dessous ne demandent pas de grandes compétences techniques ni un budget conséquent : une technique d'animation, l'usage d'un outil mis en place en 2 clics ou une posture appropriée de l'animateur de réseau peuvent faire bien plus que l'installation d'usines à gaz surdimensionnées, qui peuvent coûter très cher (au sens propre comme au sens figuré).
La coopération est une singularité de l'espèce humaine, notre moteur principal, outil de survie. Trois siècles de concurrence ne doivent pas faire oublier que nous sommes issus de plusieurs millénaires de coopération et de collaboration.
Trois chantiers
Notre époque devra relever trois défis en matière de coopération :
- Apprendre à coopérer entre êtres humains : pays du sud / pays du nord, riches / pauvres, entre religions, hommes / femmes...
- Faire en sorte que l'humanité coopère avec son environnement : moins de pollution, de nuisances, ...
- Permettre à chaque individu de mieux coopérer avec lui-même : réconcilier humanité et animalité, côté féminin et masculin...
Retours d'expériences, témoignages, conseils
Disjoindre l'apprentissage de la coopération...
...de son utilisation sur des sujets brulants !
Il est judicieux d'éviter les sujets polémiques pour s'initier à la coopération. Il vaut mieux tester méthodes et outils coopératifs sur de petits projets avec peu d'enjeux que sur des chantiers vitaux pour le réseau.
Par exemple, la mise en commun de fiches pédagogiques pour un réseau d'éducation à l'environnement, alors que ce qui est vital pour les membres du réseau c'est de trouver des moyens de se financer. Quand les membres du réseau auront acquis un peu d'expérience en matière de pratiques coopératives et auront développé un vécu commun, un chantier sur la mutualisation des moyens pourra être envisagé.
Faire vivre de petites expériences irréversibles de coopération
Un grand voyage commence par de tous petits pas.
Même s'il semble que la coopération soit une composante majeure de l'animal humain, quelques siècles de "saine concurrence", de "il ne faut pas copier", de "pour exister, ne doit rien à personne"... handicapent les humains qui s'y frottent. Il convient donc de, petit à petit, ré-instiller la dimension coopérative.
Tout changement est un processus de rupture qui demande un basculement dans les représentations, les idées, les méthodes des individus.
Pour qu'un réseau se mette à coopérer, il faut provoquer ces ruptures, ces basculements qui sont souvent irréversibles : nous proposons pour cela de faire vivre de petites expériences irréversibles de coopération :
- lever un menhir, 340 bonshommes qui tirent dans des sens différents mais pas trop fort : super comme expérience mais il faut avoir l'occasion.
- prendre des notes à plusieurs en même temps et sur une même page (avec etherpad, google doc ou gobby : outils qui permettent de co-rédiger en ligne un texte), plus simple que lever un menhir mais bien efficace.
- animer un débat en utilisant des cartes heuristiques (freeplane, freemind, Xmind...) vidéo-projetées en direct, technique qui permet de visualiser d'un coup d'il toutes les idées du groupe et on passe d'une logique linéaire à une navigation par idées qui peut s'adapter au public (on peut facilement ajouter de nouvelles idées).
- faire faire et valoriser la rédaction de synthèse de listes de discussions (par exemple, au sein du réseau Tela Botanica, les membres du réseau discutent parfois sur les listes et forums de sujets très pointus. Celui qui a initié la discussion doit réaliser la synthèse. Il y a un classement des synthèses des listes de discussion suivant qu'il s'agit d'un simple copié-collé, ou d'une rédaction plus organisée).
- mettre du contenu imparfait, à corriger : n'écoutant que leur bravoure pour défendre la pureté de la Langue, ceux qui hier encore freinaient des quatre fers à l'idée de participer sur un outil informatique passent la barrière technique et corrige les fautes ! (cette astuce est encore plus efficace quand la faute porte sur le nom d'une personne : au souci de l'orthographe irréprochable, s'ajoute l'aiguillon de l'ego...)
Lorsqu'on parle "réseau coopératif" on envisage une communauté qui n'est pas toujours sur le même espace-temps : il y a du travail à distance, des échanges synchrones et asynchrones. A l'inverse, rares sont les communautés virtuelles qui fonctionnent uniquement à distance : les regroupements, les rencontres sont des temps forts de la dynamique de réseau.
Lorsqu'on démarre un réseau, il est judicieux d'exploiter ce temps "en présence" pour tester et expérimenter des outils et méthodes qui pourront perdurer à distance : mettre en oeuvre en présence ce que l'on veut mettre en oeuvre à distance.
Ceci permettra de se familiariser, de se former et d'assurer une continuité entre présence et distance.
Par exemple, lors d'une rencontre d'un réseau, l'un des membres pose une question à l'assemblée. Tout le monde peut proposer une ou plusieurs réponses sur des petits papiers et en indiquant bien ses coordonnées. Les réponses sont synthétisées et rendues visibles à tous. Puis la personne qui a posé la question récupère les contacts des personnes ayant répondu et créée une liste de discussion pour continuer à échanger à distance.
Par exemple, on peut mettre en place des outils pour travailler à distance qui vont du coup soulever des questions sur les modes de fonctionnement en présence : les règles de prise de parole, de prise de décisions, car souvent ces éléments sont implicites. Dans un groupe, la rédaction des compte-rendus de réunion est souvent assumée par une personne. Si on met en place un outil de co-rédaction pour prendre des notes, du coup cela soulève des questions : tout le monde peut écrire ? qui valide ? On voit bien que ce n'est pas l'outil qui pose des problèmes, il soulève juste les questions.
Commencer par soi même
Charité bien ordonnée commence par soi-même. ou Pour changer le monde, il faut commencer par se changer soi-même.
Beaucoup de structures ont le projet de faire coopérer un groupe, un réseau. Mais avant toute chose, il faut commencer par pratiquer méthodes et outils coopératifs : il s'agit de s'appliquer en interne ce que l'on souhaite mettre en place en externe.
cf. la stratégie ITPTS, "Interactions Transformation Personnelle, Transformation Sociale" : ne pas opposer les volontés de changer le monde et le travail sur soi, les deux sont liés et doivent s'articuler.
Un constat : une structure qui ne coopère pas en son sein et n'utilise pas les outils qui vont avec peinera à faire coopérer autour d'elle.
Mais comment faire lorsqu'on est dans un contexte très figé, très contraint difficilement perméable à ce type de pratiques ? Il faut partir du plus petit lieu sur lequel on a prise pour coopérer, quelques collègues de confiance, un petit groupe de travail audacieux... On trouvera toujours deux ou trois personnes prêtes à jouer le jeu !
Commencer simple
Proposer des outils faciles à prendre en main par les utilisateurs
Lorsqu'on aborde l'utilisation d'outils informatiques, la première marche est la plus importante à passer. Si la première manipulation est simple, les contributeurs, rassurés auront envie de s'investir un peu plus et d'accepter qu'il y ait besoin d'un petit temps de formation ou de prise en main.
On peut même envisager de cacher des fonctionnalités dans un premier temps et attendre que le groupe grandisse en maturité avant d'ajouter des briques progressivement. Ou attendre que la demande soit exprimée et faire évoluer le dispositif technique en fonction des propositions du groupe.
Être pragmatique
Utiliser des outils facile à installer, configurer, sans compétence technique
Plutôt que d'attendre d'avoir les moyens nécessaires pour créer un dispositif sur-mesure, il vaut mieux commencer dès que la dynamique de réseau frémit à installer quelques outils clés en main, faciles à installer et à utiliser : bricoler en assemblant des outils peu onéreux mais qui permettent de commencer à proposer des démarches coopératives (google doc, netvibes...).
Bien sûr c'est imparfait : il serait préférable d'avoir son propre dispositif tout en logiciel libre. Et certains seront peut-être hostiles à l'utilisation de services en ligne gratuits qui stockent vos données avec le risque d'une réutilisation à des fins commerciales. Certes, mais l'animateur de réseau se doit d'être pragmatique. Ces outils sont à utiliser en connaissance de cause et pour ce qu'ils sont : des services en ligne gratuits, et non des outils avec lesquels on peut-être autonome, cependant par leur simplicité d'emploi ils peuvent servir à faire émerger la dynamique coopérative.
On attendra de voir de vrais usages se mettre en place avant de passer à du développement spécifique si nécessaire.
Piloter à l'usage
Piloter en attention plutôt qu'en intention :
- gérer un projet "en intention" : le coordonnateur prévoit dès le début les objectifs, le déroulement du projet, le calendrier, le budget... < c'est la méthodologie de projet traditionnelle >
- gérer un projet "en attention" : l'animateur crée des situations coopératives (faire se rencontrer les personnes, faire en sorte qu'elles se présentent, qu'elles puissent échanger...), être ensuite à l'affut et réactif (proposer des supports pour que ce qui a émergé de la situation coopérative puisse déboucher sur des projets, des actions, du travail coopératif...) < méthodologie de projet coopératif >
L'animateur doit donc s'astreindre à se taire, à mettre ses idées de côté et plutôt privilégier une attitude d'écoute et d'observation.
Par ailleurs, il doit mettre en place les conditions favorables pour faire émerger des besoins collectifs : par exemple un questionnaire dont les résultats sont partagés collectivement. Google formulaire est parfait pour ça car il permet de traiter statistiquement les réponses et de créer des graphiques. Donner à tous en temps réel les résultats permet à l'animateur de ne pas garder le monopole de la vision globale : le groupe est rendu visible au groupe.
En introduction
Twitter signifie "Gazouiller" d'où le petit oiseau bleu en logo. Créé en 2006; Twitter est une plateforme de microblogging : l'équivalent de SMS mais sur Internet. Il est possible denvoyer et de recevoir des tweets, dune longueur maximale de 140 caractères.
Avantages
- dispose d'une énorme communauté, à travers le monde entier, très active
- beaucoup d'extensions et thèmes disponibles
- CMS très flexible et maniable
- respecte les standards du web
Inconvénients
- beaucoup de fichiers
- peut trop solliciter le serveur sur lequel il est installé
- interface d'administration complexe
Présentation
Tout comme son papa Wikini, sur lequel il s'appuie, YesWiki permet, avec n'importe quel navigateur web :
de créer, supprimer, modifier, commenter des pages du site, quel que soit le nombre d'éditeurs et de pages.
de gérer les droits d'accès aux différentes pages (lire, écrire, commenter), par utilisateur ou par groupe d'utilisateur.
d'élaborer la mise en page des contenus de manière intuitive et très visuelle, sans aucune connaissance informatique.
de publier instantanément toute création ou modification de page.
d'analyser, de gérer l'ensemble du site à partir de fonctions simples : plan du site, listes des utilisateurs, listes des dernières pages modifiées, etc.
des modèles de présentation, adaptable à chaque site.
la généralisation du principe Wiki à l'ensemble du site : modification du titre, bandeau, menus, pied de page etc. par un simple double-clic.
un antispam souple.
la possibilité d'adjoindre à une page tout fichier bureautique ou multimédia avec affichage ou lecture du contenu pour les images, sons, vidéo, carte mentales.
un gestionnaire d'extensions permettant d'ajouter des nouvelles fonctionnalités telle que gestionnaire de base de données, mots-clef, microblog, veille partagée etc.
YesWiki s'installe sur un serveur Web supportant PHP 5 et plus et une base de données MySQL. Une fois installé, le site est directement opérationnel et tout est géré en ligne avec n'importe quel navigateur web.
Pré-requis
avoir un hébergement internet PHP / MYSQL
Quelques applications
ça sert à se poser des questions existentielles !
ça sert à faire facilement un site internet potentiellement collaboratif
ça sert à avoir la main sur son site
ça sert à questionner la question du pouvoir
ça sert à faire des intranets
ça sert à écrire des bouquins à plusieurs
ça sert à monter des projets à plusieurs
et ça sert à montrer que les projets à plusieurs sont réalisables et efficaces
ça sert à démystifier internet
ça sert à faire des bases de données encore mieux que Google formulaire
ça sert à repérer les personnes qui souhaitent vraiment coopérer, (les autres disent que n'importe qui va changer leur nom)
ça sert à repérer les informaticiens qui voient dans la coopération des failles de sécurité
ça sert à enlever le mot de passe pour pouvoir agir
ça sert à montrer que wiki peut aussi rimer avec joli
ça sert à monter en puissance dans ses compétences pour toute l'équipe
Présentation
Facile dutilisation, gratuit et collaboratif, Zeemaps peut être utile pour repérer des participants, créer des annuaires... les possibilités sont nombreuses. Seul inconvénient : on nest pas sûr de la pérennité du service. Voici les clés pour créer facilement une carte pour vos activités.
Pré-requis
- Disposer d'une adresse mail.
- Comprendre l'anglais (service entièrement dans cette langue).
Quelques applicationsExemples de cartes créés avec loutil Zeemaps:
Prise en main
1. Rendez-vous sur zeemaps : www.zeemaps.com
2. Cliquez sur "create a map" : une boite de dialogue saffiche
3. Remplir le formulaire
Map Name : rentrer le nom de votre carte (nhésitez pas à faire des tests)
Map type : laisser "general" et surtout cochez "wiki map", si vous souhaitez avoir plusieurs collaborateurs à la carte.
Admin password : entrer le mot de passe de votre carte, un mot de passe simple et que vous communiquerez à lensemble des participants (afin quils puissent eux-mêmes modifier les erreurs quils souhaitent corriger). Sinon ce sera à vous de repasser à chaque fois derrière pour vérifier si le nouveau point est correct.
Starting location : rentrer la ville de départ que vous souhaitez selon votre région.
Cliquez sur "create a map" pour valider le formulaire
4. Une carte apparaît sur la ville que vous avez choisie
5. Vous remarquez en haut de cette carte en bleu, une barre avec plusieurs menus : "Map", "View", "Additions".... Ces menus nous serons très utiles pour personnaliser la carte.
6. Pour créer un marqueur :
Ds le menu "Additions", cliquez sur "Add marker - Detailed" : un formulaire apparaît où vous pouvez rentrer des informations sur le point que vous souhaitez mettre.
Une fois le formulaire rempli, cliquez sur "submit" pour enregistrer, puis "close".
Parfois le formulaire demande de préciser le lieu, dans ce cas, cliquez sur la proposition qui est faites et cliquez de nouveau sur "submit", puis "close".
Le point que vous venez de créer doit maintenant apparaître sur la carte.
Vous pouvez maintenant renouveler lopération pour ajouter autant de marqueurs que vous voulez.
7. Afficher la liste des points à rajouter :
Pour cela, allez ds le menu "view" et cliquez sur "list".
8. Modifier ou supprimer un marqueur
Si vous êtes la personne qui a rempli le formulaire du marqueur, vous pouvez vous rendre directement sur son formulaire en cliquant sur le titre de lorganisme qui apparaît en bleu. Vous pouvez ainsi modifier. Noubliez pas de cliquer sur "submit" pour enregistrer votre modification.
Si vous nêtes pas lauteur du point, vous avez tout de même la possibilité de modifier ou de supprimer ce point si vous constatez une erreur, mais pour cela la carte doit être "débloquer". En effet, vous remarquerez ici que lorsque vous cliquez sur ce point, le titre napparaît plus en bleu mais en rouge.
Pour débloquer la carte : cliquez sur le bouton en haut à droite "Unlock". Une boite de dialogue saffiche ou vous devez renter le mot de passe. Rentrez le mot de passe et cliquez de nouveau sur "Unlock".
Pour savoir si la carte est bien débloquée, un bouton "Re-lock" doit safficher à la place de "unlock". Si vous cliquez sur "Re-lock" la carte sera de nouveau sécurisée.
Une fois la carte "débloquée" vous pouvez ainsi faire toute les modifications que vous désirez, lensemble des points affichent maintenant leur titre en bleu.
9. Afficher la carte sur un espace de test pour que dautres personnes puissent la compléter :
Tela Botanica dispose de pages wikini qui permettent dafficher les cartes pour tester : rendez-vous sur la page de test
10. Pour publiez votre carte :
Dans le menu "Print or share", cliquez sur "publish", une boite de dialogue apparaît. Cette boite de dialogue va vous permettre de personnaliser votre affichage.
Vous pouvez cochez les case suivantes :
"with list" : afin que la liste des organismes répertoriés saffiche automatiquement.
"include Advanced research" : ceci permettra si vous avez beaucoup de points den rechercher un en particulier dans un moteur de recherche pour éviter de lire toute la liste (ce qui peut être long au bout dun certain nombre de points répertoriés).
"allow additions", "detailed", afin que dautres personnes puissent rajouter leurs organismes dans un formulaire détaillé
"open default marker" si vous souhaitez que le même point souvre automatiquement lors de louverture de carte (celui-ci doit être au préalable sélectionné).
Une fois ceci fait, vous devez copiez le code situé dan le cadre et le coller dans votre site internet.
Important : pour safficher dans un wikini, vous devez rajouter des guillemets, comme ceci : "+"+code+"+" (les + ne sont pas à écrire !)
Important 2 : noubliez pas également de copiez-coller le lien de votre carte quelque part (il permet de visualiser la carte en grand, directement sur le site zeemaps. Vous le trouverez dans "print or share" et "link".
Avantages
- Très simple d'utilisation et prêt à l'emploi.
- Les données recueillies peuvent être exporter sous forme de base de données en .csv.
Pour cela, dans le menu "Map", cliquez sur "Save as CSV" (la carte doit être au préalable débloquée).
Une boite de dialogue saffiche "Import de texte". Choisissez comme séparateur la "virgule". Puis cliquez sur "ok". Votre feuille excel souvre.
- De même, il existe une fonction import si vous disposez déjà dune base de donnée sous forme excel (le format .scv est demandé) que vous souhaitez rendre visible sur une carte.
Inconvénients
- C'est un service en ligne : on n'est pas sûr de la pérennité du service.
- Service entièrement en anglais.